En guise d’introduction :
1. La tenue du 1er congrès de la L.C.R./S.F.Q.I.
2. Saluts et messages.
3. Le congrès en chiffres.
Thèses politiques :
I. Une chance historique pour la révolution socialiste.
II. Déclin et décadence de l’État fort bonapartiste.
III. L’union de la gauche et la restructuration du mouvement ouvrier.
IV. Les priorités pour notre action.
V. Aux masses, comment ?
Thèses sur la construction du parti : « Gagner l’hégémonie sur l’avant-garde large, par et pour la mutation de la L.C.R. »
Préambule.
I. L’avant-garde large.
II. Notre problématique générale d’intervention.
III. Notre travail de masse :
– 1. La tendance syndicale dans les syndicats ouvriers.
– 2. Le travail immigré.
– 3. Le travail enseignant.
– 4. Le travail femmes.
– 5. Le travail jeunes.
– 6. Le travail anti-militariste.
– 7. L’activité de solidarité internationale.
IV. La dialectique des secteurs d’intervention :
– 1. De la périphérie vers le centre.
– 2. Bastion et périphérie : où porter l’effort pour notre implantation ?
– 3. Priorité nationale à la C.G.T. Dialectique C.G.T./C.F.D.T.
– 4. Le travail sur la localité et le travail entreprise.
– 5. Travail syndical et comité dans l’entreprise.
V. La mutation de l’organisation :
– 1. La crise de l’organisation.
– 2. La mutation nécessaire.
– 3. Les termes de la mutation : l’embauche ; le recrutement ouvrier ; le recrutement sélectif des militants de la jeunesse scolarisée ; le quotidien ; la formation ; une vie politique interne. Un intellectuel collectif ; la mutation des directions autour du travail ouvrier ; le comité central ; les régions ; militer autrement ; construire l’Internationale.